Dans un précédent article, nous avons abordé les 6 aspects que Dilts a individualisés et dont il faut tenir compte losque l’on veut résoudre un problème en changeaant le niveau de pensée où il a été créé: Les habitudes de succès et la PNL
PNL et habitudes de succès (excellence)
Selon Wikipedia, « La programmation neuro-linguistique (abrégée « PNL » en français, et « NLP » en anglais) est un outil pseudo-scientifique de médecine alternative de communication verbale et non verbale, de développement personnel et d’accompagnement au changement. Élaborée dans les années 1970 aux États-Unis, à l’origine par John Grinder et Richard Bandler1 (qui a déposé la marque en 1976)Note 1, elle est ensuite développée par de nombreux autres contributeurs dont Robert Dilts. Cet outil est soumis à de nombreuses critiques.
La PNL se présente comme l’étude des processus comportementaux acquis, considérés comme une Programmation Neurologique représentée par la Linguistique3. S’intéressant exclusivement aux informations émises sans interpréter les causes4, la PNL formalise des protocoles permettant l’exploration et l’évolution de ces structures comportementales. En s’intéressant notamment aux représentations mentales et aux automatismes, elle les identifie, les schématise et peut les proposer comme stratégie : très schématiquement, si une personne qui échoue dit se répéter « c’est dur », la « programmation » : « je peux le faire », associée à la réussite chez d’autres, peut être proposée. La PNL vise ainsi à décrire puis à reproduire les comportements efficaces et ses techniques préétablies6 se fondent sur des présupposés7 visant à décrire ce qui est associé à l’expérience subjective d’un sujet.
Principe fondamental de la PNL, cette méthode nommée modélisation se décline en une grande variété de techniques élaborées au fil de l’histoire de la discipline. »
La Programmation Neuro Linguistique nous enseigne qu’on peut analyser, modéliser et reproduire l’excellence. Quand on comprend comment les meilleurs réussissent, on peut répliquer leurs techniques pour obtenir les mêmes résultats ou au moins s ’en rapprocher.
Einstein disait que l’excellence n’est pas une compétence, mais une habitude
C’est vraiment la méthode qui fait la différence. Par exemple, pour aller de Montpellier à Paris, vous pouvez faire le voyage en trottinette plutôt qu’en voiture de sport. En trottinette, vous ferez beaucoup plus d’efforts mais vous irez quand même beaucoup moins vite.
Ce n’est lié ni à votre talent, ni à votre intelligence ni à votre capacité de travail. C’est simplement lié au véhicule que vous avez choisi pour faire le voyage.
Les habitudes de succès comparées (pauvres-classe moyenne-riches)
Comme vous le savez, notre inconscient “mène” notre vie à plus de 95%.Cela signifie que pour qu’un comportement ait le maximum d’impact dans notre vie, elle ou il doit devenir inconscient ou passer en pilotage automatique. D’habitude, ceci s’obtient par la répétition dans la phase de rodage qui, une fois achevée (quand on n’a plus besoin de support), bascule dans la phase suivante, celle de l’automatisme. Ceci permet de construire de bonnes habitudes mais fait comprendre également qu’il faut du temps pour déconstruire les mauvaises!
Voici des habitudes de succès observées chez les meilleurs et qu’il convient de modéliser pour reproduire l’excellence sur le plan financier.
Habitudes de succès comparées (pauvres-classe moyenne-riches) en prenant en compte 13 facteurs:
Qui ils sont, l’objectif financier, l’éducation, les connaissances spécifiques, le standard, les amitiés, la capacité à socialiser, les croyances, les habitudes, savoir ou non leur désir, la rapidité de décision, la responsabilité, la gestion du temps…
Habitudes de succès comparées (pauvres-classe moyenne-riches) en prenant en compte 14 autres facteurs:
Les erreurs, la stratégie d’investissement, l’objectif du rendement, le risque, la méthodologie, l’horizon temporal, la ressource la plus grande, pourquoi ils travaillent, les « conseillers », l’origine des informations, les livres et librairies, les « indicateurs-clés », le focus, la gestion du cash-flow…
Habitudes de succès comparées (pauvres-classe moyenne-riches) en prenant en compte 15 facteurs supplémentaires:
La définition d’activités, la quantité des entrées, la maison, les investissements immobiliers, l’origine de l’investissement, ils investissent en, les attitudes envers les autres catégories, l’aptitude à vendre et à promouvoir leur propre valeur, l’attitude face aux problèmes, leur valeur, création de valeur, co-respectif, capacité à gérer de l’argent, gestion échanges d’intérêt, obstacles-opportunité…
Habitudes de succès comparées (pauvres-classe moyenne-riches) en prenant en compte 11 ultimes facteurs:
Capacité à générer de la confiance, pourcentage de revenu produit par les investissements, pourcentage de revenu produit par leur profession, zone de confort, chance, identité, ce qu’ils pensent du marché, ce qu’ils croient de la vie, ce qu’ils pensent de leur situation financière, le “jeu” de la richesse, la situation externe…
En somme, une fois compris les principes qui sous-tendent les habitudes de succès, il faut trouver la façon la plus personnalisée de les intégrer à sa vie par la répétition assidue jusqu’à ce qu’elles soient internalisées.